L’ART AU SERVICE DU POUVOIR : 

Les emblèmes du pouvoir : hymnes, allégories, drapeaux… mais aussi leur représentations sur la monnaie, les timbres…
 
L’art commandé : régimes politiques, partis, chefs d’État, de régions… souhaitent laisser leur marque dans l’Histoire en faisant bâtir, peindre, sculpter… 

La propagande : le pouvoir, pour asseoir son autorité, communique avec son peuple ou avec les autres peuples. Pour cela, il fait appel à des artistes qui conçoivent pour lui affiches, chansons, sculptures monumentales, peintures, etc. 

L’art officiel : chaque régime soutient des artistes ou des modes d’expression artistique qui favorisent ses valeurs. 
L’ART ET LA CONTESTATION : 

La résistance : pour lutter contre un régime dictatorial, contre une armée d’occupation ou contre le pays qui les a colonisés, les artistes créent leurs œuvres dans la clandestinité. 

La contestation : les artistes montrent leur désaccord avec le pouvoir politique ou un état étranger en dénonçant la guerre, les injustices, les discriminations... 

Utopies et contre-utopies : une utopie propose un modèle de société idéale tandis que la contre-utopie prétend montrer où peuvent nous conduire nos excès, ceux de nos contemporains, ceux de nos dirigeants. 

L’ART ET LA MÉMOIRE :  

Les monuments officiels : pour entretenir le souvenir des joies et des souffrances de la Nation. 

Autobiographies et témoignages : pour transmettre au monde et à la postérité ce que l’artiste a vu, ce qu’il a vécu. 

Le devoir de mémoire : quand l’artiste entretient la mémoire collective par une œuvre qui rappelle des faits désormais entrés dans l’Histoire.